Avec Pierre David - Fondateur de l'Académie de la Haute Performance
"Développe un mental de sportif de haut niveau SANS FAILLE et de manière IRREVERSIBLE
grâce à la méthode de dépolarisation de l'Académie de la haute performance"
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Fondateur de l'Académie de la Haute Performance et coach en dépolarisation
Coach de médaillés olympiques au service des entrepreneur.e.s et sportifs ayant accompagné plusieurs centaines de personnes à travers la Dépolarisation
Conférencier d'inspiration et en développement personnel. Auteur de 3 livres sur la performance.
Bonjour, je suis Pierre David
Je me présente, Pierre David, consultant professionnel dédié aux performers, jeune décrocheur scolaire qui, selon ses professeurs, n’était pas destiné à faire de longues études. Par chance, à l’âge de mes 15 ans, je découvre la Savate Boxe française.
À cet instant, je commence très rapidement à m’intéresser aux sportifs de haut niveau. D’ailleurs, ces derniers sont souvent étudiants.
Je décide alors de continuer mes études afin de pouvoir m’entraîner. Et le résultat suivait. Je montais les catégories une à une jusqu’à atteindre, en 2011, ma toute première finale au niveau national Elite B.
Avant ce combat, dans les vestiaires, je ne trouvais pas la motivation. Je n’avais pas cette rage de vaincre. Pourtant, cette année, j’étais invaincu et j’avais tout pour être gagnant. Enfin, presque tout… Il me manquait cette “chose” dont je vous parlerai plus tard.
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Peu de temps après, j’obtiens, en France, un BTS ainsi qu’un poste dans un métier au sein duquel je ne m’épanouis pas. Je décide donc de partir en Australie afin d’apprendre l’anglais. Quelques mois plus tard, la boxe commence sérieusement à me manquer. Je décide donc de rentrer mais avant cela, cap sur la Thaïlande.
Je suis resté deux mois à l’intérieur de camps de boxe et achève ce voyage au Lumpinee, après un combat contre le japonais Nakamura.
Rentré de ces périples, je décide de reprendre mes études.
Malgré les conseils de mes proches, j’en ai profité pour reprendre le sport avec la ferme intention de détenir la tenue de l’équipe de France dans ma collection de vêtements. J’atteins le niveau national Elite A et je fais la rencontre du champion d’Europe en titre. Jusqu’à la fin de la saison, je termine la saison en full-contact et réussis à devenir Vice-champion de France.
Deuxième année au niveau national Elite, en plus de mon expérience, j’affronte mes adversaires et arrive à me hisser en finale. Enfin, je réussis à obtenir cette fameuse tenue de l’équipe de France.
Mon rêve est atteint, je suis épanoui. Je décide maintenant de réitérer ce schéma avec une nouvelle saison qui se solde aussi par l’obtention du titre de Vice-champion de France.
Malgré tout cela, je ne ressentais toujours pas cette motivation qui me faisait défaut et m’empêchait de me dépasser.
Dans la foulée, j’apprends que je peux participer au Championnat de France Universitaire.
Je le gagne. Pourtant, j’ai toujours cette question qui trotte dans ma tête : pourquoi est-ce que même en finale du championnat de France, je n’ai toujours pas envie de boxer ?
Ce n’est pas faute d’avoir essayé. J’ai tout fait : méditation, hypnose, sophrologie… Mais il n’y a rien à faire. Quelque chose me bloque. Je n’ose toujours pas m’imposer ni prendre ma place.
J’arrête donc, avec amertume, la compétition. Je sais que je n’ai pas tout donné, que j’ai au fond de moi cette puissance de décrocher la première place… Malgré cela, je ne ressens plus l’envie de m’entraîner.
C’est alors que je décide d’arrêter la boxe pour me former en coaching à l’Institut des Neurosciences et en Hypnose. À l’École Centrale d’Hypnose, je voue un intérêt immense pour cette discipline, ce qui m’amène à devenir tuteur des nouveaux stagiaires.
Puis l’encadrant des tuteurs. Je refais tous les cours en absorbant telle une éponge les apprentissages des formateurs afin d’intégrer tous les fondamentaux et la philosophie de cette discipline.
Parallèlement, je ne souhaite plus entendre parler de compétition, sûrement dû à un blocage profondément enfoui en moi. Je décide alors d’ouvrir mon premier cabinet en hypnose. Malheureusement, je me rends très vite compte que je ne suis pas à ma place.
Une partie de moi n’est pas comblée.
Une partie de moi s’ennuie. Au quotidien, je vois beaucoup de personnes se complaire dans leurs problèmes, sans essayer d’y remédier.
Je romps avec ma petite-amie qui est devenue, depuis, championne du Monde.
Comment pouvait-elle affirmer avec certitude dès le début de l’année que plus tard, elle accèdera à ce titre tant convoité ? Je remarque alors quelque chose de subtilement différent entre sa manière de penser et la mienne. Je vois bien que ce ne sont pas les outils extérieurs qui font la différence.
Je décide dès lors de repartir en Thaïlande. Non pas pour pratiquer la boxe cette fois-ci, mais pour méditer. Il est grand temps que je comprenne, en profondeur, les choses et le savoir accumulés ces dernières années.
Le silence et la concentration me permettront de mettre de l’ordre dans mes pensées. 20 jours dans le silence le plus total : sans lire, sans écrire, sans parler. Je prends deux repas par jour, le premier à 7h du matin et le second à 11h (du matin aussi).
Je faisais partie d’un faible pourcentage de personnes restant 20 jours à l’endroit où j’étais. Par conséquent, le moine me donne alors un défi vers la fin de mon séjour, précisément au 17ème.
Son défi était de me faire rester 3 jours et 3 nuits sans dormir et sans m’allonger, dans ma chambre de 9 m². Je lui dis que c’est impossible. Suite à quoi il me répond : “tu penses cela parce que tu ne te connais pas. Si tu te connaissais, tu saurais que tu as accumulé l’énergie suffisante pour tenir”.
Finalement, le moine avait raison. J’ai tenu. Je l’ai réalisé ! Étrangement, je n’étais pas si fatigué que cela au bout du compte. Avec du recul, ces 20 jours de méditation m’ont permis de comprendre quelle était la différence entre les numéros 1 et les numéros 2 dans le monde.
Il s’agit d’une différence à laquelle aucun outil ne pourra faire face, à moins de bénéficier d’un long suivi régulier et profond.
Non, il doit y avoir un moyen d’aller plus vite. Je rentre donc en France et termine mes engagements vis-à-vis de plusieurs lycées au sein desquels j’interviens de manière hebdomadaire sur le sujet de la connaissance de Soi. Je conserve l’appellation “hypnose”, mais j’ai compris que cet état d’hypnose, de méditation ou de sophrologie ne consistent finalement à une seule et même chose : plonger le cerveau dans les ondes alpha pour que le subconscient soit plus réceptif aux suggestions afin d’accepter de nouvelles croyances, et donc générer de nouveaux comportements.
À cet instant, je suis persuadé qu’il doit exister un moyen de faire mieux et plus vite. Un moyen auquel peu de personnes ont pensé pour reconditionner le subconscient
.
Je reprends donc en parallèle une formation auprès de génies du développement personnel à l’Institut SANE et maintenant, je comprends enfin les choses en profondeur avec le docteur John Demartini qui est élu à plusieurs reprises expert numéro 1 mondial du comportement humain. À la rencontre de nouvelles personnes, je développe des techniques de déblocage express. Eurêka… Je l’ai !
J’entrevois enfin ce qui m’a manqué, ce qui m’a tant fait défaut lorsque je pratiquais la boxe. Le constat est simple : ce ne sont pas les outils qui feront gagner un sportif si cette “fameuse chose” n’est pas réglée. Cette chose est pourtant si évidente… C’est “l’identité” de chaque Être humain. Pas de Faire, d’Avoir ou de Savoir humain : il s’agit bel et bien d’Être humain.
C’est le “je suis” qu’il faut travailler. La partie immergée de l’iceberg. Est-ce que c’est facile pour toi de croire tout en disant : “cette année, je serai champion du Monde” ? Oui ? Ou est-ce que ça bloque au niveau de ta gorge lorsque tu prononces cette phrase ? Si ça sonne faux, pas de chance…
Tu auras beau aller chercher les outils que tu veux (hypnose, méditation ou sophrologie), tu n’arriveras pas au bon endroit. Ces outils sont adaptés et excellents si ton Identité est en symbiose avec ce que tu veux faire.
Beaucoup de préparateurs du mental travaillent au niveau des croyances (comme ils l’ont si bien appris).
D’autres encore n’ont jamais pratiqué de sport de haut niveau. Ils vont donc te dire de te concentrer sur les processus d’apprentissage.
Mais ils se trompent. Si tu connais la loi de Vilfredo Pareto, tu sais que 20% des causes produisent 80% des effets.
Et ces 20%, c’est “qui tu es” ? Change qui tu es, et le faire et l’avoir viendront naturellement vers toi.
Tu dois voir où sont tes blocages. Et c’est uniquement parce que je ne veux pas que tu vives de nouveau cette frustration, cette sensation de ne pas avoir tout donné, et ces regrets, que j’ai fondé l’Académie de la Haute Performance.
Nous avons une mission, un but : aider le sport de haut niveau français à passer au niveau supérieur, en aidant le plus d’entrepreneurs et d’athlètes à arriver sereins, confiants et déterminés le jour des compétitions, sans ne plus jamais avoir peur des résultats.
En effet, certains entrepreneurs sont entrés dans le programme initialement pour des raisons sportives. Et nous nous sommes aperçus que les séquences internes du sport de haut niveau étaient connectées à celle des entrepreneurs, eux aussi considérés comme des sportifs de haut niveau. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de créer ce lien entre les sportifs et les entrepreneurs.
Pierre